Notre actualité !

par IED 31 octobre 2025
NOUVEAU SPECTACLE DRÔLE Christian Mukuna Et si c’était le dernier ? MISE EN SCÈNE DE GASPARD BOESCH Dans un monde qui avance de plus en plus vite, ce trentenaire, bientôt quadragénaire, s’interroge sur le temps qui passe et sur le monde qui l’entoure. À partir de quand devient-on «has-been»? À partir de quand la musique, «c’était mieux avant»? Et pourquoi, soudain, on commence à nous appeler «Monsieur»? Avant de démarrer un nouveau chapitre, il y a toujours une dernière fois : La dernière fois qu’on ose porter une tenue de sport flashy avec serre-tête et bande anti-transpirante. Dans ce nouveau spectacle, Christian Mukuna se raconte et nous raconte, avec son regard affûté, son humour malin et parfois moqueur envers nos petites habitudes. Il nous rappelle que ces dernières fois marquent non seulement le début de la nostalgie, mais aussi celui d’une nouvelle aventure. Venez découvrir Christian Mukuna dans son nouveau spectacle. Et si c’était le dernier ? Les bénéfices des ventes du merchandising seront reversés au Fonds Dr Denis Mukwege et à l’association Innocence en Danger.
par IED 27 octobre 2025
Contexte et ampleur du problème Amnesty International a publié le 21 octobre 2025 une étude alarmante sur les effets de l'algorithme de TikTok France, en collaboration avec l'Institut Harris. Cette enquête fait suite à un premier rapport de 2023 et cible spécifiquement les mécanismes dangereux du fil « Pour toi » pour les jeunes utilisateurs. Avec 21,4 millions d'utilisateurs actifs en France, la plateforme touche près d'un tiers de la population. Les constats préoccupants Une exposition massive à des contenus nocifs L'étude révèle que plus de 80% des jeunes de 13 à 25 ans admettent passer trop de temps sur les réseaux sociaux. La moitié d'entre eux sont régulièrement exposés à des contenus préjudiciables : promotion de corps idéalisés, troubles alimentaires, et dans les cas graves, incitations au suicide, dépression et automutilation. L'impact psychologique est considérable : 58% des jeunes se disent affectés, un chiffre qui grimpe à 75% chez les jeunes femmes de 16 à 21 ans. L'effet « rabbit hole » : une spirale infernale rapide L'expérimentation d'Amnesty International via de faux comptes de jeunes de 13 ans démontre la redoutable efficacité de l'algorithme : en seulement 45 minutes, deux profils sur trois reçoivent des messages explicites sur le suicide. Après trois heures, tous les comptes sont submergés de contenus sombres exprimant des idées suicidaires. Le témoignage de Maëllys, 17 ans, illustre parfaitement cette descente : partie de vidéos légères, elle s'est rapidement retrouvée enfermée dans un flux de contenus dépressifs qui ont alimenté son mal-être. Une régulation inexistante Le vide juridique et l'inaction L'avocate Laure Boutron-Marmion, qui représente le collectif Algos Victima (sept familles dont les enfants se sont suicidés entre 2021 et 2023), parle d'un « Far West numérique » et affirme que « nous sommes au degré zéro de la régulation ». Son cabinet reçoit désormais une soixantaine d'appels de parents confrontés à des situations similaires. Des lois non appliquées Malgré l'adoption du règlement européen DSA en juillet 2022 et la loi française de juillet 2023 instaurant une majorité numérique à 15 ans, ces textes restent lettre morte. Une étude de l'Arcom révèle que les enfants accèdent aux réseaux sociaux dès 12 ans en moyenne, avec un contrôle d'âge effectué dans seulement 18% des cas. Les enjeux et obstacles Le sénateur Mickaël Vallet souligne la complexité du défi : « Nous nous attachons à décortiquer ce qu'il se passe dans une organisation mondiale ». Il pointe l'opacité des structures et la lenteur des procédures juridiques face à l'urgence : « Une adolescence non protégée, ça passe vite ». Les mesures envisagées Amnesty International annonce déposer un recours auprès de l'Arcom, dénonçant les violations par TikTok de ses obligations européennes. Les recommandations parlementaires incluent la création d'un délit de négligence numérique pour responsabiliser les parents. Emmanuel Macron a réaffirmé sa volonté d'interdire les plateformes aux moins de 15 ans, s'appuyant sur un dispositif de vérification d'âge en test. Conclusion Ce rapport dresse le portrait d'une jeunesse consciente des risques (69% tentent de limiter leur exposition) mais incapable de s'en protéger efficacement, piégée par un algorithme conçu pour maximiser l'engagement. Face à des conséquences parfois mortelles et une explosion des signalements, l'urgence d'une régulation effective s'impose, nécessitant à la fois une action juridique ferme contre les plateformes et une éducation renforcée des parents et des jeunes. Lire l’article complet sur publicsenat.fr Témoignage : les dangers de TikTok pour les jeunes Extrait de l’article paru sur publicsenat.fr le 22/10/2025 (https://www.publicsenat.fr/actualites/societe/incitations-au-suicide-sur-tik-tok-france-amnesty-international-saisit-larcom?at_content=photo&at_term=publicsenat&at_campaign=linkedin&at_medium=Social&at_source=nonli) Aujourd’hui âgée de 17 ans, Maëllys s’est retrouvée victime de ces recommandations alors qu’elle était au collège. « Au départ, je regardais des danses, des playbacks de Disney, de téléréalité, de scènes de films », explique-t-elle à Amnesty International. Mais très vite, son fil « Pour toi » a évolué : « En 5ème, j’ai commencé à avoir des trucs tristes, j’ai très vite liké ces vidéos parce que je me sentais concernée. Puis Tik Tok me les a reproposées et tous les contenus de mon fil d’actualité étaient tristes, parlaient de dépression ». Et l’engrenage s’est installé : « Plus je regardais, plus je trouvais des ‘solutions’, par exemple des cachettes pour des lames de rasoir. […] Tu n’as plus de souvenir d’avant, quand tu étais bien, quand tu te sentais heureuse. Tu te dis tu dis que tu as toujours été malheureuse. […] On reste là-dedans, on continue et c’est un cercle vicieux ».
par IED 24 octobre 2025
Le 25 février, nous organisons un concert hommage à ABBA inoubliable, avec des artistes de classe mondiale et une production éblouissante. Nous espérons que 100 % des ventes de billets seront directement reversées à nos programmes de protection de l’enfance. Ce n’est pas une collecte de fonds comme les autres. C’est la preuve que lorsque des personnes de bonne volonté s’unissent autour de la musique et d’une cause, nous pouvons être la voix, le bouclier et l’espoir des enfants qui ne peuvent pas se défendre eux-mêmes.
par IED 24 octobre 2025
Amoureux de la musique classique, mes amis et amis de la cause d'Homayra. Quand l'une des plus belles voix du monde se met au service de nos enfants, cela se célèbre. Venez découvrir Jakub Józef Orliński, contre-ténor d'exception et véritable phénomène de la scène lyrique internationale. Acclamé sur les plus grandes scènes du monde – du Metropolitan Opera de New York au Royal Opera House de Londres – il bouleverse les publics par la pureté cristalline de sa voix, l'émotion profonde qui imprègne chacune de ses interprétations, et son charisme fascinant mêlant virtuosité vocale et performances chorégraphiques saisissantes. Jakub Orliński sublime les chefs-d'œuvre de Händel, Vivaldi, Monteverdi et tant d'autres compositeurs baroques, insufflant une vie nouvelle à ce répertoire avec une sensibilité rare et une technique éblouissante. Mais au-delà de son talent exceptionnel, c'est son engagement qui nous touche profondément. Cet artiste hors du commun a choisi de mettre sa voix – l'une des plus belles au monde – au service d'Innocence en Danger. Il offrira un concert unique le 5 juin 2026 à la Cité Bleue à Genève, dont les bénéfices en soutien à notre combat pour protéger les enfants victimes de violences. C'est un événement rare. C'est un geste magnifique. C'est une soirée inoubliable qui changera des vies. Réservez vos places dès maintenant via le lien ci-dessous , et partagez largement autour de vous. Chaque billet vendu est un pas de plus vers la justice pour ces enfants qui n'ont pas eu de voix. Quand l'art rencontre l'humanité, quand le talent se met au service de l'innocence, nous avons le devoir d'être présents. Venez célébrer la beauté de la musique et la force de l'engagement. Partagez avec les amis mélomanes. Avec toute notre gratitude. https://lacitebleue.ch/evenement/jakub-jozef-orlinski/
par IED 30 septembre 2025
Homayra Sellier participera au Festival international du film de TRYON, aux Etats-Unis. " Après avoir soutenu pendant plus de dix ans le Festival international du film de Tryon depuis l'étranger, Homayra Sellier, humanitaire de renommée internationale, se rendra pour la première fois à Tryon en octobre prochain. Son arrivée marque un moment important non seulement pour les organisateurs du festival, mais aussi pour ses collègues juges, cinéastes et participants qui ont appris à la connaître au fil de leurs années de collaboration. [...] Grâce à ses relations nouées lors d'événements tels que le Festival international du film de Berlin, elle a contribué à faire venir des cinéastes influents au TRIFF, notamment Cecilia Peck et des projets mettant en vedette Laura Dern. Elle a également entretenu des liens étroits avec ses collègues juges du TRIFF, offrant des conseils avisés à l'équipe de programmation du festival pendant près d'une décennie. Les organisateurs du festival la décrivent comme « une défenseure infatigable des enfants et une fidèle partisane de notre mission. Sa visite à Tryon est un cadeau pour cette communauté » . Sa présence devrait inspirer de nouvelles conversations sur la justice, l'art et le rôle du cinéma dans la promotion des droits humains.  Les participants auront l'occasion de la rencontrer lors de la 11e édition annuelle du TRIFF, prévue en octobre." Lire l'article sur tryondailybulleton.com : https://tryondailybulletin.com/2025/09/25/human-rights-advocate-and-innocence-in-danger-founder-to-join-triff-in-october/
par Innocence in Danger 9 avril 2025
Semaine 1 – premiers pas, premières vérités Les premières heures de Xavier del Marmol et son périple pour Saint Jean de Compostelle
par Innocence in Danger 23 février 2024
Depuis un village vaudois un pédophile aurait poussé des femmes à abuser de leur propre enfant. Le Temps 06/01/24 Le Ministère public vaudois a requis 8 ans de prison contre un jeune homme accusé d’avoir, via une application de live chat, poussé des femmes en Asie à commettre des actes sexuels sur leurs propres enfants. lire la suite Le père incestueux était complice du curé pervers. Le Matin 7/01/24 Un père de famille incestueux a livré ses enfants à un prêtre pédophile, son ancien amant, qui les a violentés pendant plusieurs années. Une enquête du journal valaisan « Le Nouvelliste » tente de faire la lumière sur cette sordide affaire. https://www.letemps.ch/suisse/la-complicite-d-un-pere-mise-en-lumiere-dans-une-affaire-d-abus-sexuels-au-sein-de-l-eglise-valaisanne La Suisse mal équipée face à la tragédie de l’inceste. RTS 29/11/23 Heidi Duperrex a créé dans le canton de Fribourg un groupe de parole pour les victimes d’inceste. Elle déplore le manque de structures et d’actions adaptées en Suisse malgré la gravité de ce fléau. Lire la suite Les suisses pourront désormais signaler les contenus pédocriminels. RTS 29/11/23 Il est désormais possible de signaler anonymement des contenus pédocriminels trouvés sur le web via le service de signalement en ligne clickandstop.ch. Les images d'abus ne font qu'augmenter sur internet ces dernières années. Cependant, très peu de cas aboutissent à des poursuites judiciaires par signalement direct. https://www.rts.ch/info/suisse/12989928-les-suisses-pourront-desormais-signaler-les-contenus-pedocriminels.html Enquête : neuf affaires d’abus sexuels ou de pédocriminalité à l'Abbaye de Saint-Maurice. RTS 19/11/23 Plusieurs chanoines de l’Abbaye de Saint-Maurice sont mis en cause pour abus sur mineurs dans une affaire d’envergure. Une enquête de fonds a permis aux victimes de prendre la parole et révélé l’Omerta mise en place par les membres de la communauté monastique. https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/enquete-neuf-affaires-dabus-sexuels-ou-de-pedocriminalite-a-labbaye-de-saint-maurice?urn=urn:rts:video:14481627 Les ravages de l’inceste jugés à Yverdon. Le Temps 30/10/23 Un père, accusé d’avoir violé sa propre fille durant toute son adolescence, comparaît devant le Tribunal criminel de la Broye et du Nord vaudois. Lire la suite
5 juillet 2023
Exposition au Studio Naegeli Le 19 février 2023, Innocence en Danger Suisse et le Studio Naegeli ont organisé une exposition des oeuvres d’art d’enfants ukrainiens de l’orphelinat de Kramatorsk.
3 juillet 2023
Le 10 juin 2023, Innocence en Danger Suisse était présente à la journée des associations romandes pour l’enfance organisée par Tous unis pour l’enfance. Cette journée entièrement gratuite, à la fois pour les participants et le public, a permis de mettre en lumière le travail des associations romandes et apporter une aide précieuse aux parents à la recherche de conseils et de soutien. Cet évémement unique s'est ponctué de temps forts ainsi que de conférences animées par des experts renommés qui se sont exprimés sur des sujets en lien avec les domaines associatifs représentés. Parallèlement, des activités ludiques et animations ont été proposées aux enfants.
3 juillet 2023
Ce courrier s’adresse tout particulièrement à Monsieur Guillaume DESANGES, Madame Marianne BERGER-LALEIX, Madame Sylvia VARAGNE, Madame Marta DZIEWANDSKA, Madame Emma LAVIGNE, Monsieur Philippe DIAN et tous les membres du Palais de Tokyo qui ont participé de près ou de loin à la mise en œuvre de l’exposition « Ma Pensée Sérielle » de Miriam CAHN. Mesdames, Messieurs Alertés sur le tableau Fuck Abstraction exposé actuellement dans votre Palais, des membres de nos associations se sont rendus sur place dès le 9 mars dernier, afin d’y faire notre propre expérience. Ce tableau tristement célèbre représente – sans l’ombre d’un doute – un enfant à genoux, poignets ligotés, forcé à effectuer une fellation à un homme. Un autre enfant est tenu par la tête juste à côté. La violence de cette toile et le risque auquel elle expose les enfants nous a poussés à prendre la parole pour vous demander son retrait. Plusieurs associations parmi les signataires ont saisi la justice à travers un référé liberté devant le tribunal administratif puis devant le Conseil d’Etat afin de faire décrocher cette toile ou, au minimum, réserver l’accès à cette exposition aux majeurs. En vain puisque le Conseil d’État, par une décision incompréhensible, a rejeté nos recours le 14 avril dernier (1) . C’est pourquoi aujourd’hui nous nous en remettons à votre clairvoyance afin de faire avancer la protection de l’enfance. Si l’art doit pouvoir « montrer le réel dans ce qu’il a de monstrueux », il n’en reste pas moins qu’un sujet comme celui des violences sexuelles sur mineurs ne peut faire l’objet d’une naïve complaisance. Or, en dépit des justifications de l’auteur quant à son intention et de la médiation organisée par le musée autour de ce tableau particulièrement brutal, son exposition publique met les enfants en danger. Cette œuvre relève bel et bien de la pédopornographie, définie par la Directive européenne du 13 décembre 2011 comme englobant « tout matériel représentant de manière visuelle une personne qui paraît être un enfant se livrant à un comportement sexuellement explicite, réel ou simulé » (2) . Alors que le code pénal (art. 227-23) sanctionne la diffusion de contenu pédopornographique pour protéger l’enfance de la pédocriminalité, le Conseil d’État a ajouté à la loi en justifiant l’exposition du tableau sous prétexte d’intention ou d’explications. Les conséquences d’une telle décision pourraient être catastrophiques en matière de protection de l’enfance : Suffira-t-il aux personnes qui détiennent des images pédopornographiques sur leur ordinateur de faire figurer un avertissement dénonçant le crime représenté pour justifier leur détention ? Votre prochaine exposition comportera-t-elle des photos de viols d’enfant, au motif qu’elles s’inscrivent dans une démarche artistique pour dénoncer les horreurs de la guerre ? Cette simple question révèle bien qu’il est nécessaire et légitime de poser des limites à l’exposition publique de la création, même artistique. Il importe peu que l’auteur ait ici eu l’intention de représenter une personne majeure ou mineure du moment que le public perçoit dans la victime un enfant, et ce d’autant plus que le tableau en lui-même ne comporte aucun élément de décryptage ni de condamnation de l’acte : la pancarte qui se veut explicative est située en plein milieu de la salle d’exposition et ne fait pas de lien direct avec le tableau controversé. En outre, l’écriteau décrit une « personne » aux mains liées alors même que sur la toile est représenté un enfant : le visiteur peut, une fois encore, ne pas faire de connexion avec ladite toile. En tout état de cause, si le code pénal sanctionne le « seul » partage d’images pédopornographiques, y compris de façon discrète entre deux ordinateurs, et y compris par des personnes qui ne sont jamais passées à l’acte, c’est parce que de telles images emportent une mise en danger des enfants, en elles- mêmes et non en fonction de leur contexte. Un pédocriminel peut d’ailleurs parfaitement faire abstraction du contexte au Palais de Tokyo pour trouver sa satisfaction à contempler le tableau. Si l’image pédopornographique n’est pas en elle-même source de danger pour les enfants, pourquoi la justice sanctionne-t-elle leur simple téléchargement ? Une telle situation ne peut être amenée à perdurer, notamment au regard du nombre croissant de demandes d’aide que nous recevons chaque jour concernant des violences sexuelles sur mineurs (plus de 400 demandes sur l’année 2022 rien que pour l’association Innocence en Danger). Enfin, vous n’êtes pas sans savoir que le tableau n’est pas présent dans le catalogue de l’exposition, ce qui nous permet de supposer qu’aucun membre de l’organisation de l’exposition ne pouvait ignorer l’émoi causé par une telle œuvre.  Il s’agit aujourd’hui d’entendre la voix de la société civile qui ne cherche pas à faire taire un art mais simplement à préserver la santé et la sécurité de l’enfant. Compte tenu de ces éléments, il relève de votre devoir et de votre responsabilité de ne pas maintenir un tel danger. Ainsi, nous vous demandons solennellement le décrochement de cette toile afin de préserver l’intégrité des mineurs. Nous sommes bien conscients que l’exposition arrive à sa fin mais nous n’en demandons pas moins cette mesure symbolique afin de préserver l’enfance, pour l’avenir, de toute complicité même involontaire avec la pédocriminalité. En comptant sur votre sens des responsabilités en faveur de l’enfance, et très respectueusement, Associations signataires : #WeToo Stop Child Abuse • Association pour la Protection contre les Agressions et Crimes Sexuels (APACS) • CDP-Enfance (Comprendre Défendre Protéger l’Enfance) • Enfance Intégrité • Face à l’inceste • Glenn Hoel, Association de défense des enfants maltraités • Innocence en Danger • Juristes pour l’enfance • Le monde à Travers un Regard • Les enfants de Tamar • Peau d’Âme • Protéger l’enfant • Réseau de professionnels pour la protection de l’enfance et l’adolescence (REPPEA) • Traumatisme Inconscient et Victimologie • Un nouveau jour ——————————— (1) – https://www .legifrance.gouv .fr/ceta/id/CET A TEXT000047477689?dateDecision=&init=true&page=1&query=4 72611&searchField=ALL&tab_selection=cetat (2) Directive 2011/92/UE du 13 décembre 2011 https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/HTML/?uri=CELEX:32011L0093&from=FR#d1e531-1-1